1à kilomètres à pieds, ça use, ça use...

La nuit passa sans encombre. Après son tour de garde, Alrun eut un sommeil sans rêve et s'éveilla naturellement et reposé avant la plupart des autres, et bien avant l'aube. Tous les autres se réveillèrent aux premières lueurs du jour, habitués à vivre avec le rythme du soleil. Entre les discussions qu'il pouvait entendre et les mines dépités, Alrun dû se rendre à l'évidence que le voyage - dont l'essentiel était clairement devant eux - n'était pas pour ravir tout le monde. Certains semblaient ne commencer à saisir les enjeux que ce matin. Il trouva Alböl en train de pester sur une tique qu'il tentait d'enlever à son fils aîné, visiblement sans succès. En voyant le septan arriver, il lui tendit une petite broche en bois déjà tâchée de sang. "Dis mon gars, t'peux essayer ? T'as l'air doué d'tes mains."

Si Alrun accepte, jet de DEX x2 difficulté 18.

Alrun prit le petit morceau de bois, et observa l'endroit ou la tique s'était installée. Elle était déjà un peu arrachée mais tenait encore bon.
Il glissa la broche sous l'abdomen de l'insecte et tire doucement, extirpant la petite créature sans difficulté. Il l'écrasa ensuite son son talon, et se prépara à partir.
Le voyage reprit peu après, Et ils se dirigèrent vers la côte comme l'avait suggéré un des villageois.
Alrun sentait naître en lui un sentiment étrange en lui. Ces gens représentait que qu'il avait rencontré de plus proche de son village natal depuis des mois, cependant, il ne se sentait pas tout à fait à sa place parmi eux. Il se rendait compte qu'il pensait à eux comme des "fermiers" et des "villageois" alors que c'était le cas de tout son entourage proche durant son enfance. Il comprit soudainement que la différence venait de lui. Il avait changé. La destruction de son village, la mort de sa famille, le voyage avec les marchands, le loup du Valhoka, la rencontre avec Dellamune, les Kuuhuuns, les dragons, les mages et tout ce qu'il avait vu l'avait changé. Il n'était plus seulement Alrun l'apprenti forgeron du Haut-Sépat, mais Alrun le vagabond, Alrun le garde du corps, Alrun le bagarreur, Alrun l'aventurier.
Il continuait à réfléchir à tout cela tandis qu'il marchait.

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'D20' : 4

Le groupe évolua lentement à travers un paysage triste et humide d'hiver. Les journées étaient courtes et fraîches, bien que la douceur temporaire et relative du climat n'ai pas rendu le voyage totalement inenvisageable. Ces terres, bien qu'ayant une réputation sauvage et nordique, étaient bien plus densément peuplées que bien d'autres contrées qui bordent la Mer Verte, et après une grande journée de marche, Alböl en tête, le groupe trouva déjà un village. Alrun n'eut pas grand chose à faire : les paysans se connaissaient déjà pour certains, et la moitié des voyageurs eut la chance de dormir à l'abri de foyers amicaux. Le septan n'eut pas cette chance mais put tout de même, avec les autres, investir un grand bâtiment qui servait parfois de grenier et parfois de refuge en cas de problème majeur. Le simple fait d'être entre quatre mur et de pouvoir installer des paillasses de vieux foin poussiéreux rendit la nuit bien plus attrayante, d'autant plus que personne n'aurait à se lever en pleine nuit pour surveiller les alentours. Bien que la plupart des femmes et des enfants soient allés se coucher, les hommes veillèrent encore un peu, invitant Alrun à partager leurs jeux de dés et leurs discussions.

Alrun accepta, et se mêla aux hommes.
La discussion tourna tout d'abord autour du dragon, et de leur avenir proche, puis dériva sur des sujets plus légers. Puis un homme demanda à Alrun de raconter ce qui avait pu pousser un jeune Septan seul à voyager si loin de chez lui. Alrun raconté alors son histoire.
Il fut concis sur l'épisode de la destruction de son village et de la mort de ses proches, épisode traumatisant qui le secouait encore.
Pour le reste, il narra avec un talent qu'il ne se connaissait pas et qui fut salué par ses nouveaux compagnons. Il omit volontairement certains détails, comme le fait que son amie Dellamune pratiquait la nécromancie et qu'elle était liée à une liche kuuhuun mais donna un récit honnête de ses aventures. Quand il se tut, un silence dura quelques secondes, puis tout le monde applaudit bruyamment. Alböl ponctua ses applaudissements d'un : "Sacré p'tiot ! T'en a vu des rouges et des pas mûres !" (Les pommes dans cette régions, avait une teinte cramoisie lorsqu'elles n'étaient pas mûres, et prenaient une belle couleur verte quand c'était le cas)
Les hommes le félicitèrent pour son récit, le complimentèrent pour avoir fait fuir, seul, un grand loup du Valhoka, certains même le surnommèrent "Chasse-Loup" pour l'exploit. D'autres furent impressionnés par sa bravoure face au géant ravageur de village.
Alrun leur demanda par la suite de lui expliquer un peu l'histoire de ce pays, les légendes qu'on y racontait.

Certains des villageois, exténués, étaient partis se coucher, dont Alböl, et seuls une demi-douzaine d'hommes, dont Alrun, restaient assis autour du feu. Ce dernier était entouré de grosses pierres, autour, la terre battue avait été balayée de tous les éléments combustibles. La fumée transparente et piquante s'élevait vers l'ouverture dans le toi prévue à cet effet. La lumière rouge du feu donnait à tous les hommes l'air encore plus grave qu'ils ne l'étaient - et ils l'étaient bel et bien.

L'un d'eux pris la parole, tâchant de répondre à la question du septan pour lequel ils commençaient tous à éprouver non pas cette crainte mêlée de respect que l'on ressent à l'égard des héros mais cette sorte d'amitié inspirée de pitié virile. "Not' village !" S'exclama l'homme avec un air nostalgique alors qu'il s'y trouvait deux jours plus tôt, "not' village c'est pas n'importe quel hameau." Les hommes hochèrent la tête, certains vivement, d'autres plus longuement. "On dit qu'la colline sur laquelle y'a not' village, c'est l'crâne d'un Jorst, un géant d'la montagne... c'bein pour ça qu'le village s'appelle Jorst." Cela semblait rappeler aux fermiers qu'ils avaient toujours vécu sur un vestige mythologique, réduisant inconsciemment l'impact du dragon sur leur état d'esprit.

L'un d'entre eux semblait pressé de surenchérir : "Y paraît aussi que c'ui qui peut creuser à travers son crâne trouv'ra là où s'trouve la cervelle un min'rai incassable !" D'autres hommes grommelèrent pour attester de la véracité de cette partie de la légende.

"En parlant d'monstre, j'espère qu'on aura pas d'truc à écaille sur la mer..." Les mines s'assombrirent. Il était tard, et dans un mouvement généralisé, chacun alla se coucher.

L’évocation d'un minerai incassable résonna dans l'esprit d'Alrun. Ce genre de minerais était le rêve de tout forgeron, qui permettrait de fabriquer les plus belle pièces, et de s'assurer gloire et richesse. Il garda donc cette information dans un coin de son esprit. Il n'était pour le moment pas en mesure de mettre en place une entreprise telle que creuser une mine, mais il espéra un jour pouvoir le faire, et se dit qu'il irait faire des repérages le plus tôt possible. De plus, au-delà de l'envie du pur forgeron, il savait qu'une arme et une armure dans un métal de ce type serait un atout précieux par les temps qui courent et pour mettre les chances de son côté quand il démantèlerait l'ignoble secte qui avait exterminé les siens. Il ne pensait pas souvent à sa vengeance, mais elle restait toujours dans un coin de son esprit, augmentant sa détermination, et assombrissant légèrement son mode de pensée. Il restait Alrun le forgeron jovial, mais il était désormais capable de tuer, voler, piller et détruire, si cela lui permettait d'éliminer le groupe qu'il considérait comme assez mauvais et dangereux pour justifier tous ces actes.
Malheureusement, il manquait cruellement d'informations, et en était au même point qu'au début de sa quête sur ce point.
Alrun décida d'aller se coucher, et dormi d'un sommeil ponctué de rêves d'objets forgés dans un métal mythique. Il rêva aussi de sa famille, ce qui eut pour effet de renforcer sa détermination à son réveil. Il avait désormais fait le deuil de sa famille, et il ne pensait à leur mort plus que par l'envie de punir les coupables, de rendre justice. La justice...
Il se rendit compte que ce désir muet était resté tapi au fond de son âme, et commençait à grandir. Il fallait qu'il se venge avant de pouvoir mener une vie paisible, qu'elle soit constituée de voyages et d'aventures, ou d'un foyer aimant.
Alrun était un jeune villageois, mais ses voyages l'avait fait mûrir plus qu'il ne s'en était rendu compte. Il se dit qu'avec la situation actuelle, c'est à dire l'apparition de dragons, de kuuhuuns, de liches, de nécromanciens et autres magiciens, une secte mystique ne pouvait rester discrète. Il était à peu près certains qu'il risquait de les trouver près d'endroit où avaient lieu des événements inhabituels.
Al décida donc de ne pas partir avec le village, il les accompagnerait jusqu'à la mer, puis ferait demi-tour. Il ferait naître le jour à la mine du métal légendaire, rassemblerait autour de lui des gens puissants, et s'occuperait ensuite des hommes masqués qui le préoccupaient tant. Puisque le simple fait de voyager ne lui avait permis de trouver ses ennemis comme il l'avait naïvement espéré, il forcerait le destin.
Il avait réfléchi toute la journée, et avait machinalement prit le départ et marché pendant des heures, sans se rendre compte du temps qui passait. Le soleil s'éloignait à l'horizon, dans des couleurs rose-orangées, et il pouvait voir au loin, une immense étendue d'eau, la mer.
Comme il n'y avait plus de villages entre le port et eux, les villageois décidèrent de finir le voyage ce soir, et d'arriver directement à leur destination. Ils continuèrent alors à marcher, dans une obscurité de plus en plus intense.

La pression qui pesait tacitement sur le groupe s'allégea un peu. La proximité d'une première étape majeure leur éclaircissait l'esprit : ce voyage n'était pas inutile, et il n'avait pas causé leur perte. Les conversations se firent plus nombreuses et moins graves, le pas était plus rapide et surtout moins fastidieux. La fatigue générale aurait pu freiner cette vague de relative euphorie, mais au contraire, elle aida. Lorsque les voyageurs atteignirent le village (qui portait le doux nom de Giohapk). Ici encore, quelques connaissance accueillirent certaines familles, les autres étant contraints de se réfugier dans les étables et écuries. Il y avait bien un campement de marchands itinérants, mais lorsqu'Alböl s'était présenté à eux, ils l'avaient presque menacé de le chasser avec leurs mercenaires.

La ville en elle même n'était pas au bord de la mer, mais sur une colline, juste derrière : les environs étant marécageuses, il était difficile de construire des bâtiments durables à moindre coût. Le port était composé d'une demi-douzaine de larges pontons en bois sombres auxquels étaient arrimés de nombreux navires de pêche. Au bout, trois vaisseaux marchands se balançaient au gré de la houle, sombre sur le ciel encore pâli par le jour. Un entrepôt en pierre de taille avait été construit sur la plage de galets, aussi loin que possible de la marée. Les ouvertures faisant face à la mer étaient hautes, et il fallait contourner le bâtiment pour rentrer. Ces quelques spécificités avaient été pensées lors de son édifice en raison des tempêtes qui pouvaient ravager la côte.

Dès le lendemain, les exilés partiraient vers une terre plus sûre. Cette pensée semblait animer tous les esprits...

Durant la soirée, Alrun s'adressa à Alböl.
"-Je ne prendrai pas la mer avec vous. annonça Al.
-Pourquoi cela ? Nous t'acceptons avec nous mon p'tiot !
-J'ai encore beaucoup de choses à faire en ces terres, j'y ai une amie, et en tant que forgeron, je ne peux pas laisser courir la rumeur qu'il y ait un métal indestructible dans la région sans vérifier !"
Sur ce Alböl acquiesça, il souhaita bonne chance à son jeune ami, et tous allèrent se coucher.
Le lendemain, Alrun fit ses adieux, et observa le navire s'éloigner sur l'immensité bleue, il admira le levé de soleil.
Par la suite, il décida d'aller essayer d'aborder ces étranges marchands qui avaient repoussé Alböl.
Il s'approcha alors de leur campement et essaya de lancer la conversation avec un manutentionnaire qui transportait une lourde caisse, et qui semblait faire partie du groupe.
"Hola mon ami ! Qu'est-ce que tu transporte de si lourd ? Et qui justifie autant de protection ? Parce qu'on dirait que vos mercenaires ne rigolent pas !"

"M'en fous j'suis juste payé pour porter" répondit l'homme d'un ton sec. Il n'était qu'un petit manutentionnaire, mais l'un des marchands ; bien mieux habillé que les autres hommes qui arpentaient le camp ; s'approcha d'un air anxieux. Il avait visiblement entendu la conversation et s'empressa de répondre : "Ce sont des teintures rares, je crains toujours une attaque !" Son visage lourd et flasque était rouge et il soufflait bruyamment. Courir sur une quinzaine de mètres pour traverser le camp avait été pour lui un effort herculéen.

Des sacoches en cuir s'entassaient sur une paillasse au sol. Elles étaient toutes scellées par deux ceintures serrées au maximum, plissant le cuir pourtant épais. Elles semblaient contenir quelque chose sous forme de poudre ou de grain, et il y en avait au moins quarante. Plusieurs hommes d'arme suivaient à la trace les paquets, qui étaient à l'abri d'une grande toile de tente et qui étaient en train d'être chargée dans un chariot auquel un homme attelait deux bœufs puissants et placides.

Quête terminée : Détale !

Jet INS + LOG difficulté 20

LOG (5) + INS (6) + 1D20
Réussite si jet >/= 9

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'D20' : 7

Alrun n'y connaissait rien en teinture rare, il crut alors sur parole le marchand rougeaud et haussa les épaules. Cependant il interpella le marchand et lui demanda si il avait des nouvelles de Mardles..
"Si c'est par là que vous vous dirigez, j'ai quelques informations qui vous seraient utiles, voire vitales et que vous ne possédez surement vu la manière dont vous avez repoussé Alböl hier vous n'avez pas conversé avec les villageois."
Alrun afficha un sourire avenant et poli et il regardait le marchand dans les yeux, qui visiblement semblait surpris, et n'avait pas l'air de connaitre la situation de Mardles. Il fronça les sourcils et demanda d'un air inquiet :
"Que voulez-vous dire ?"
Alrun répondit alors que des informations si précieuses valaient bien qu'on verse un peu de sa poche pour être divulguées, après tout, la vie n'avait pas de prix, et la perte de la cargaison qu'il convoyait lui coûterait surement bien davantage que ce petit renseignement.

Il parut déconcerté. Ce n'était certes pas la première fois qu'un homme quelconque venait extorquer de l'argent contre des informations à la véracité incertaine à Garic ; ce genre d'entourloupes ne prenaient de toutes façons jamais avec lui ; mais il était assez rare de voir plusieurs familles de simples villageois fuir une raison, à fortiori sans bonne raison. Il n'était pas stupide ; malgré son groin et ses petits yeux rapprochés qui, sur son visage bouffi, lui donnaient un air porcin qui lui valait régulièrement des railleries. Il n'était malgré tout pas près à payer pour cette information : "J'vais dans le Sud, en longeant la côte, j'passe pas par Mardles alors qu'est-ce que ça m'intéresse ?"

"Malheureusement, la menace est mobile, ces villageois n'habitaient pas Mardles, et on tout de même eut l'intelligence de fuir."
Alrun regarda son interlocuteur droit dans les yeux, et maintint son regard jusqu'à la réponse de son interlocuteur.

Le gros homme plissa ses petits yeux qui n'en devinrent plus que deux fentes noires et luisantes. Il semblait chercher dans le regard du septan un vacillement ou un sursaut fébrile, marques des menteurs, mais non, il semblait bel et bien honnête. Ses yeux s'écarquillèrent à nouveau et il tendit à Alrun une pièce d'argent qu'il avait prise dans un pli de son vêtement. "Alors ?"

"La ville est rasée. En ruine. Il ne reste plus que des décombres, et bien peu de survivants"
Alrun avait rangé la pièce dans sa bourse et regardait toujours le marchand ventripotent. Attendant la question qui suivrait à coup sûr. Qu'est-ce qui avait bien pu provoquer une telle catastrophe ?

Le marchand haussa un sourcil, circonspect mais surpris, puis éclata soudain d'un rire entrecoupés de grandes respirations retentissant en grognement porcin. Il se détourna du voyageur et retourna dans sa tente, les épaules toujours secouées du fou rire qu'il avait du mal à maîtriser.

"Tant pis, mort, vous rirez moins. Et j'aurais du mal et venir piller votre cadavre tant il sera éparpillé ! Je perds de l'argent et vous perdrez sans doute la vie, vous êtes décidément bien mauvais en affaires !"
Alrun était tout d'abord consterné, et un peu vexé, puis il comprit que sans avoir vu tout ce qu lui même avait vu, il était difficile de croire ce genre de choses, il était même content de ne pas avoir cité le dragon, cela lui aurait fait perdre toute crédibilité.
Il passa ensuite en revue les gardes du marchand, vérifia combien ils étaient, quel était leur équipement, et leur expérience apparente au combat.

Les mercenaires étaient environ huit, dont quatre encadraient les manutentionnaires chargeant les sacoches sur le plateau de la charrue. Ils avaient l'air de s'ennuyer un peu mais restaient vigilant, deux d'entre eux d'ailleurs surveillaient le septan - seule source de danger potentiel et immédiat. Leurs armures ne différaient que peu de l'un à l'autre : parfois, l'usure du cuir, un haubert ou un gantelet variaient, mais la régularité de leurs équipements n'était pas courante en dehors des armées classiques. Leurs armes, en revanche, étaient variées : épées, haches, lances courtes.

Alrun fit tournoyer son épaule droite et s'adressa à l'un des gardes qui l'observaient.
"Se dégourdir un peu les membres ça te dit ? Sans armes et au premier sang."
Alrun afficha le sourire carnassier qu'il arborait avant un combat à mains nues. Il aimait vraiment ça.
Il fit craquer ses jointures, et fixa l'homme dans les yeux. Il était de la même taille qu'Alrun, et à peu près de la même corpulence, mais il était tout de même un peu plus trapu. Il avait les cheveux plus cl d'une demi douzaine d'année. Al pouvait voir dans son regard qu'il mourait d'envie d'échanger quelques coups avec le jeune Septan. Mais sembla hésiter.

Edit Kees : jet CHA+PPH diff. 14

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'D20' : 9

L'homme haussa les épaules : pourquoi se priver d'un bon combat ? Après tout, rien ne le lui interdisait. Sans un mot, il répondit à l'appel et déposa toutes ses armes au sol, ainsi que son plastron de cuir, se retrouvant torse nu, puis s'approcha, attendant qu'Alrun fit la même chose.

Alrun fit de même, adressa un signe de tête à son adversaire en guise de salut, et monta sa garde. Il se plaça pied gauche légèrement en avant, dans une garde de droitier.
Il regarda son adversaire dans les yeux et commença à se balancer légèrement sur ses appuis, prêt à bondir pour attaquer comme pour esquiver. Ses mains légèrement détendues, prêtes à s'ouvrir pour attraper, à se fermer pour frapper ou encore à se tendre pour donner un coup du tranchant.
Il vit à la garde de son vis-à-vis qu'il avait une certaine expérience du combat à mains nues, sans pour autant être un expert.

Eldan

PdV	120
MNA	90
INITIATIVE	1318
ESQUIVE	12
CANALISATION	-
UTILISER UNE CAPACITE	82%
SdD	18
BONUS DGT CÀC	20
BONUS DGT DIST.	17
TOUCHER	40%
CRITIQUES	18%

Rappel des armes naturelles :

	Dégâts	Base%	Effet critique
Poing	Bonus CAC x1,5	50%	DGT x2 + assommer la cible sur jet PPH+FRM diff. = dommages subis
Pied	Bonus CAC x2,5	20%	DGT x2 + renverse l'adversaire
Empoignade	Bonus CAC x0,5	20%	ennemi maîtrisé

Alrun commence (INI supérieure)