Aibyleen
2 participants
Aibyleen
Nom : Schinschassah
Prénom : Aibyleen
Surnom : Aibi
Race : Hytis
Signe distinctif : Yeux vérons
Âge approximatif : 20
Taille : 1m64
Poids : 55kg
Corpulence : Normale (Petite et fine mais un minimum musclée)
Description : Calculatrice, manipulatrice méfiante et agressive
Occupation :
Histoire :
Depuis qu'elle est en âge de comprendre ce qui se passe autour d'elle, Aibyleen a adopté une philosophie plutôt amère, mais réaliste.
Malgré tout ce que ses parents lui racontaient et lui promettaient au coin du feu , elle se rendit bien vite compte que dans un monde agressif et dur comme celui dans lequel elle vivait, tout n'était pas possible. Et il est entre autre impossible de devenir qui on veut, dans les zones gelées de l'est. Tout est prédéterminé, en fonction du milieu de naissance.
Manque de chance, Aibyleen faisait partie des familles très modestes, du 'bas peuple', comme on l'appelait là haut. On vivait de peu et on s'en contentait. Elle se souvient surtout d'un dicton qu'on lui répétait souvent, quand elle était toute petite et qu'elle demandait pourquoi. Pourquoi regarder les autres qui réussissent, et pourquoi pas elle? On lui répondait alors que la richesse n'était rien: "Donne nous un repas tels qu'ils sont là-haut et nous serons rassasiés, donne leur nos repas tels qu'ils sont habituellement et ils mourront de faim."
La faim avide se voyaient dans 'leurs' yeux à tous. Tous autant qu'ils étaient, pourris jusqu'à la moelle.
Rien ne suffisait, il fallait toujours plus, quitte à empiéter sur les autres, quelle importance? Qui sont-ils?
Les règles sont faites pour être transgressées, c'est pourquoi Aibyleen s'efforçait de donner le meilleur d'elle même dans tous ses apprentissages pour être vue telle qu'elle devrait l'être, tant d'efforts vains. 'On' lui faisait bien remarquer qu'elle n'était que pourriture et qu'elle n'avait que faire là où elle était. C'est pourquoi elle en vint à détester toutes ces personnes on ne peut moins modeste qui la rabaissaient sans cesse sans même la connaître, qui la rabaissaient pour ce qu'elle n'était pas.
Ici, la rébellion n'existait pas -ou du moins peu de temps- et Aibyleen avait l'impression que ses pairs se laissaient littéralement écraser par 'ceux' d'en haut. Autant de douleur insoutenable que de voir sa famille et ses amis souffrir pour pouvoir vivre. Elle apprit alors qu'il est des douleurs bien plus intenables que la douleur physique pour un être vivant.
Seize ans. Toujours la même misère. Ce jour là, Aibyleen était partie, seule, sur les sentiers non souillés de son village. Chercher un peu de tranquillité, un échappatoire à tout ce qui l'oppressait. Elle avait appris à vivre avec bien sûr, on s'habitue à tout, même aux pire souffrances, c'est le propre de l'humanité, c'est le propre de l'inhumanité.
Si elle ne se sentait plus humaine, Aibyleen se sentait encore moins Hytis.
En tout cas pas un de 'ceux' là, ceux qui trahissent, qui souillent et qui détruisent. Elle avait tout simplement honte de son peuple.
L'amertume de la haine dans sa bouche ne s'atténuait pas avec le temps, loin de là. Alors elle choisit. De s'entraîner, longtemps. S'entraîner à se venger, à se défendre mais aussi à tuer. Tuer tous 'ceux' là.
Tous les jours, elle les passait dans une forêt proche de son taudis, à s'entraîner avec de vieilles armes rouillées trouvées par ci par là. Elle s'améliorait plutôt vite, n'était pas spécialement forte mais devenait assez agile, souple et résistance, en plus des capacités de logique et de perception qu'elle avait hérité de ses parents, puis développées étant petite et en grandissant.
20 ans. Toujours la même routine, l'entraînement avait porté ses fruits et elle se sentait à l'aise, presque prête. Mais depuis quelques temps elle sentait que sa mère lui mentait. Depuis la mort de son père, malade, l'année d'avant. Elle cachait quelque chose, vieillissait peut-être trop vite elle aussi. Toujours est-il que son regard évitait soigneusement le sien.
Aibyleen voulait partir maintenant,partir de là 'ils' exerçaient une menace quasi-constante. Elle pouvait affronter le monde.
En rentrant dans son taudis, ce soir là, Aibyleen avait pris la décision de partir, trop haineuse contre tout pour pouvoir ressentir quelque émotion que ce soit.
Mais tout ce qu'elle trouva ne fut qu'un corps de vieille femme ridée, vidée de son sang mais au visage paisible. Ça et une lettre, une phrase.
"Tu ne veux pas du bouquet de mes erreurs".
Suite vers le début de l'aventure ...
Force physique : 6
Force mentale : 8
Empathie : 4
Constitution : 6
Instinct : 7
Agilité :8
Logique :7
Dextérité :7
Perception : 6
Prénom : Aibyleen
Surnom : Aibi
Race : Hytis
Signe distinctif : Yeux vérons
Âge approximatif : 20
Taille : 1m64
Poids : 55kg
Corpulence : Normale (Petite et fine mais un minimum musclée)
Description : Calculatrice, manipulatrice méfiante et agressive
Occupation :
Histoire :
Depuis qu'elle est en âge de comprendre ce qui se passe autour d'elle, Aibyleen a adopté une philosophie plutôt amère, mais réaliste.
Malgré tout ce que ses parents lui racontaient et lui promettaient au coin du feu , elle se rendit bien vite compte que dans un monde agressif et dur comme celui dans lequel elle vivait, tout n'était pas possible. Et il est entre autre impossible de devenir qui on veut, dans les zones gelées de l'est. Tout est prédéterminé, en fonction du milieu de naissance.
Manque de chance, Aibyleen faisait partie des familles très modestes, du 'bas peuple', comme on l'appelait là haut. On vivait de peu et on s'en contentait. Elle se souvient surtout d'un dicton qu'on lui répétait souvent, quand elle était toute petite et qu'elle demandait pourquoi. Pourquoi regarder les autres qui réussissent, et pourquoi pas elle? On lui répondait alors que la richesse n'était rien: "Donne nous un repas tels qu'ils sont là-haut et nous serons rassasiés, donne leur nos repas tels qu'ils sont habituellement et ils mourront de faim."
La faim avide se voyaient dans 'leurs' yeux à tous. Tous autant qu'ils étaient, pourris jusqu'à la moelle.
Rien ne suffisait, il fallait toujours plus, quitte à empiéter sur les autres, quelle importance? Qui sont-ils?
Les règles sont faites pour être transgressées, c'est pourquoi Aibyleen s'efforçait de donner le meilleur d'elle même dans tous ses apprentissages pour être vue telle qu'elle devrait l'être, tant d'efforts vains. 'On' lui faisait bien remarquer qu'elle n'était que pourriture et qu'elle n'avait que faire là où elle était. C'est pourquoi elle en vint à détester toutes ces personnes on ne peut moins modeste qui la rabaissaient sans cesse sans même la connaître, qui la rabaissaient pour ce qu'elle n'était pas.
Ici, la rébellion n'existait pas -ou du moins peu de temps- et Aibyleen avait l'impression que ses pairs se laissaient littéralement écraser par 'ceux' d'en haut. Autant de douleur insoutenable que de voir sa famille et ses amis souffrir pour pouvoir vivre. Elle apprit alors qu'il est des douleurs bien plus intenables que la douleur physique pour un être vivant.
Seize ans. Toujours la même misère. Ce jour là, Aibyleen était partie, seule, sur les sentiers non souillés de son village. Chercher un peu de tranquillité, un échappatoire à tout ce qui l'oppressait. Elle avait appris à vivre avec bien sûr, on s'habitue à tout, même aux pire souffrances, c'est le propre de l'humanité, c'est le propre de l'inhumanité.
Si elle ne se sentait plus humaine, Aibyleen se sentait encore moins Hytis.
En tout cas pas un de 'ceux' là, ceux qui trahissent, qui souillent et qui détruisent. Elle avait tout simplement honte de son peuple.
L'amertume de la haine dans sa bouche ne s'atténuait pas avec le temps, loin de là. Alors elle choisit. De s'entraîner, longtemps. S'entraîner à se venger, à se défendre mais aussi à tuer. Tuer tous 'ceux' là.
Tous les jours, elle les passait dans une forêt proche de son taudis, à s'entraîner avec de vieilles armes rouillées trouvées par ci par là. Elle s'améliorait plutôt vite, n'était pas spécialement forte mais devenait assez agile, souple et résistance, en plus des capacités de logique et de perception qu'elle avait hérité de ses parents, puis développées étant petite et en grandissant.
20 ans. Toujours la même routine, l'entraînement avait porté ses fruits et elle se sentait à l'aise, presque prête. Mais depuis quelques temps elle sentait que sa mère lui mentait. Depuis la mort de son père, malade, l'année d'avant. Elle cachait quelque chose, vieillissait peut-être trop vite elle aussi. Toujours est-il que son regard évitait soigneusement le sien.
Aibyleen voulait partir maintenant,partir de là 'ils' exerçaient une menace quasi-constante. Elle pouvait affronter le monde.
En rentrant dans son taudis, ce soir là, Aibyleen avait pris la décision de partir, trop haineuse contre tout pour pouvoir ressentir quelque émotion que ce soit.
Mais tout ce qu'elle trouva ne fut qu'un corps de vieille femme ridée, vidée de son sang mais au visage paisible. Ça et une lettre, une phrase.
"Tu ne veux pas du bouquet de mes erreurs".
Suite vers le début de l'aventure ...
Force physique : 6
Force mentale : 8
Empathie : 4
Constitution : 6
Instinct : 7
Agilité :8
Logique :7
Dextérité :7
Perception : 6
Dernière édition par Tallula le Dim 27 Jan 2013 - 14:03, édité 1 fois
Tallula- Pré-inscrit
- PA : 0
Néophyte
Messages : 9
Date d'inscription : 16/01/2013
Re: Aibyleen
Valeur de la somme des factoriels des attributs : 97 944
Niveau sur l'échelle du Grosbillisme : 4 /10
Justification du personnage : Classique
Originalité : Classique
Valeur de l'attribut Flüanhï : 6
Personnage validé ! Bienvenue en jeu !
Attention cependant, O'Leary ne sonne pas du tout Hytis, si tu souhaite garder ce nom, il faudra le justifier par des origines étrangères (pas toujours un plus), sinon, il faut en changer.
(Un traumatisé, une orpheline et une gothique rebelle. Si quelqu'un fait un perso assassin avec une histoire totalement différente de celles de Kendall, Kithiara et Aibyleen, je crois que je lui mets la note maximale en originalité !)
Niveau sur l'échelle du Grosbillisme : 4 /10
Justification du personnage : Classique
Originalité : Classique
Valeur de l'attribut Flüanhï : 6
Personnage validé ! Bienvenue en jeu !
Attention cependant, O'Leary ne sonne pas du tout Hytis, si tu souhaite garder ce nom, il faudra le justifier par des origines étrangères (pas toujours un plus), sinon, il faut en changer.
(Un traumatisé, une orpheline et une gothique rebelle. Si quelqu'un fait un perso assassin avec une histoire totalement différente de celles de Kendall, Kithiara et Aibyleen, je crois que je lui mets la note maximale en originalité !)
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