(Quête) Il n'y a pas de fumée... elles vous pinceront aussi !

Un camps de personnes étranges angoisse les habitants d'un hameaux perdu. Trop loin de la capitale, les habitants ont décidé de faire appelle aux services d'un mercenaire pour régler le problème. Les paysans interpelle toute personne armée en lui proposant le travail.

Prérequis : avoir pour habitude d'arborer de manière ostensible ses armes de corps à corps

Lieu : chemins autour du hameau
Moment : journée


Récompense : 10 sous ; 25 PX

Une fois assez éloigné de son village natal, ailelame s'approcha d'une rivière remarquable par le calme et la serenité qu'elle dégageait du lent ruissellement de son eau miroitante... Il s'arrêta un moment pour contempler derrière lui un paysage pourtant si familier mais en même temps complètement inédit ; il n'avait jamais contemplé les montagnes du Creux que de l'intérieur, elles qui lui semblaient si hautes et menaçantes étaient recouvertes d'une épaisse verdure, majoritairement de chênes et de pins. Et, dans la direction opposée, s'étendait l'impensable, que dis-je l'inimaginable pour Ailelame...  A l'horizon une immense terre plate, pas une seule montagne! Il croyait rêver... Il passa ses deux mains entrouvertes  dans l'eau de la rivière, noircissant d'abord au contact du charbon recouvrant sa peau, puis redevenant pure s'en saisit et se frotta abondamment les yeux. Mais il avait beau frotter encore et encore , cligner des yeux, et même regarder avec son seul oeil intact, rien ne changea, il y avait toujours devant lui cette immense plaine dont l'existence même avait toujours était inconnue d'Aïland. Alors, il décida, après s'être soigneusement a nouveau recouvert de charbon - il en avait emporté de son village - après avoir remit son sac de peau sur ses fines épaules, de suivre la direction du soleil, c'est à dire d es'enfoncer dans l'inconnu de la plaine. Il marcha alors pendant trois   jours consécutifs en faisant de courtes pauses certes mais en ne cherchant nullement le sommeil tant il était absorbé par ce qui l'entourait. Mais le troisième jour, alors que la faim commencait à le tirailler, il fut nez à nez avec un petit village centré autour d'une haute église. Il s'arrêta dans une taverne, commanda un peu de pain et d'eau et laissa ses oreilles le guider. Il entendit une femme qui couroussait son mari qui semblait préferer dilapider l'argent dans de la cervoise plutôt qu'en gagner. De l'autre côté un fou divaguait expliquant chuchotant puis vociférant toutes ses quêtes accomplies. Mais au comptoir, une conversation attira tout particulièrement l'attention d'Ailelame :
-"Comment va-t-on faire à propos du camp de brigants?
- On a besoin de plus de personne, une de plus serait idéale car j'ai déja réussit à réunir une petite équipe de six personnes mais sachant qu'ils sont une quinzaine de ces mauvaises herbes une de plus serait un minimum tu ne penses pas?
- Bien sur que si et encore, ca sent le massacre avec aizhen le redoutable dépeceur de mère...Quelle lubie terrifiante.. J'en ai le sang qui se glace.
-Attends quelqu'un s'approche... Dit-il d'un air méfiant"
C'était Ailelame qui proposait son aide. Pour les convaincre, il montra la dague qui aurait apparemment appartenu à son père, une simple dague, un peu émoussée certes mais toujours d'un tranchant remarquable et d'une solidité à toute épreuve. On lui répondit, pour lui en dissuader au vu de son frêle gabarit que c'était très dangereux et qu'on ne le paierai que 10 sous.
Cependant, cela était plus que suffisant pour ailelame. Après plusieurs échanges, il fut accepté et rejoignit les 6 autres pour détablir le plan d'assaut du camp de voyous prévu pour le lendemain...

Le lendemain le ciel s'était couvert d'un épai manteau de nuages noirs, menaçants, et seuls quelques irréductibles rayons de soleil parvenaient à effleurer le sol... Mais cela ne remettait pas en cause leur plan, au contraire il permettrait, si l'orage éclatait, d'être plus difficilement repéré.
Quand le soleil eut juste dépassé son apogée, les 8 partenaires étaient en position, Ailelame et Ced étant cachés derrière un épais buisson, dont le feuillage n'était plus que parcellaire mais qui restait assez épais pour constituer une bonne cachette. Il commenca à pleuvoir à fines gouttes et aïland se couvrit immédiatement la tête. Ced avait beau le bousculer et le traiter de pleutre, car personne ne devrait se couvrir face à une toute petite pluie, il garda sa capuche solidement attachée...
Quand le soleil indiqua trois heures et que la pluie se faisait plus importante, plus effrénée, l'assaut commença. Chacun des quatres groupes se dirigea vers la tente la plus proche. En effet les brigants s'étaient tous réfugiés sous leur petites habitations à cause de l'orage qui arrivait...
Ced expliqua à Aïland que pour plus d'efficacité ils prendraient chacun une tente différente. Ailelame, qui n'aimait pas trop la coopération, pour ne l'avoir jamais pratiquée, acquiesça. Il se dirigea vers une tente, silencieuse, mais qui était éclairée. Il avançait lentement, tandis que Ced se précipitais vers une autre tente... Il poussa légèrement le rideau de toile qui fermait la tente ( son coeur s'accélérait), soudain, il vit, le dos courbé sur une chaise en direct d'une petite table d'ébène , l'un des brigants. Ailelame s'avançait, se rapprochait, et à chaque pas, il sentait, au plus profond de lui, un stress profond l'envahir, une angoisse persistante, et son coeur, ne cessait de battre de plus en plus vite. Il n'était plus qu'à un être de son ennemi, il lui semblait qu'il faisait une chaleur étouffante malgré la pluie qui s'intensifiait... Soudain, il vit juste un geste, un tressaillement, la tête du brigant commençait, à se retourner, il allait se retourner s'était sur! Comment allait-il réagir face à une ennemi? Les questions se bousculèrent à une vitesse folle dans sa tête. Il devait agir! Et vite! Il sauta au coup du brigand et y planta sa dague, l'ennemi eut juste le temps de se retourner et Aïland, ne pût que contempler la flamme, de ces yeux qui le fixait, s'éteindre lentement, tressaillant un instant puis disparaissant dans le néant.
Ailelame sortit, où qu'il regardait, les autres avaient fait le boulot, le sang des corps affluant dans les flaques donnait un aspect d'enfer au lieu... Quand tou t d'un coup il entendit un cris qui lui glaça le sang... Il se précipita vers l'endroit d'où venait ce bruit... Il vit un énorme brigand, possédant un cache-oeil, relever sa massue de l'endroit ou sait le corps de Lucien. Il regarda autour de lui, ils n'étaient plus que cinq à encercler le dernier brigand qui poussa un cri de rage...

[tentative de contre-attaque de Kruger, (70% de réussite)
si réussite : dégats = 19 + 4D12 + 3 (soit 26 à 70)]

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#1 'D100' : 63

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#2 'D12' : 8, 2, 9, 4

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#1 'D100' : 48

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#2 'D12' : 9, 1, 1, 10

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#1 'D100' : 64

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#2 'D12' : 11, 8, 9, 8

Pdv Ailelame : 100 - 52 = 48

Ailelame fut projeté à terre. Le sang s'écoulait légèrement de la plaie sur son thorax. Il avait, pendant un instant le souffle coupé et ses yeux roulaient cherchant le regard de son opposant. Quand il reprit totalement ses esprits, Kruger le regarder vaciller légèrement amusé par la scène et exalté par sa sensation de triomphe, de supériorité envers ce petit gringalet qui avait osé l'affronter. Mais, de sa tête qui avait heurté le sol glissait une fine coulure de sang, qui alla se loger sur son oeil droit... Kruger crut rêver, et en perdit son rire... La capuche d'Aïland ayant été déchiré par le choc, la pluie qui désormais faisait rage avait fait disparaître partiellement la couche de charbon qui recouvrait la peau d'Ailelame. Du côté gauche, son visage était recouvert de la boue qui avait giclé sur lui lors de l'impact et de l'autre côté, sa peau grise argentée avait refait son apparition. Un coup d'éclair éclaira le visage d'Ailelame, faisant briller la face argentée, surmontée d'un oeil rouge sang, dont la noirceur de l'hématite avait laissé place un gris profond. Quant à ses cheveux, des reflets argentés étaient apparus. Ailelame prit d'un excès de rage lança de toutes ses forces (poussant un cri déchirant le silence de mort qui s'était créé) la dague de son père en direction de Kruger.

Dague invoquée
niveau : celui du possesseur de la gemme
dégâts : 3D4
toucher : 50% + niveau
portée : 1
spécial : empoisonnement (la cible perd 'niveau/2(*) + 1D4' à chaque début de tour jusqu'à la fin du combat)
(*) : arrondir à l'entier suppérieur

[jet de Dague invoquée : (chance de toucher : 62%)]
si réussi :
dégâts : 4 + 3D4 - 7
état spécial : *empoisonné*

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#1 'D100' : 74

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#2 'D4' : 3, 3, 1

La dague était, bien que lancée adroitement, trop prévisible et Kruger parvint sans difficulté à l'esquiver. De nouveau énervé par le fait que son adversaire ne le laissait toujours pas, il prépara un ultime coup de Kruger de tête à Ailelame.

[coup de Kruger de tête (toucher 100%)
dégât : 17 + 4D12 +3 - 4 + 5 (soit 25 à 69)

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#1 'D100' : 93

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#2 'D12' : 12, 12, 4, 2

Ailelame s'était préparé à recevoir le coup pour contre-attaquer, cependant, il avait sous-estimé son adversaire qui fut plus violent que prévu. La Kruger de tête se retrouva très rapidement dans la figure du jeune Ulglimm qui fut projeté à quelques mètres de là. Kruger se déplaça jusqu'à la masse inerte qu'était devenu le corps d'Ailelame. Le dernier coup de masse avait fait sortir la gemme de l’œil de ce dernier. Kruger trouva cette gemme qui luisait dune couleur bleutée dans la boue très intéressante et décida de l'emporter pour l'étudier plus posément et à l'abri des voleurs. Avant de partir, il attacha Ailelame à un arbre afin que si il lui venait l'idée de le suivre pour retrouver son bien, il ait un peu plus de retard. Il noua son bandeau au trou laissé béant par la pierre sur la tête de l'Ulglimm et s'en alla. La pluie continuait de tombait, masquant ses pas laissez dans un boue humide et collante. Il marcherait ainsi, à la recherche de nouveaux amis Ulglimms dans le noyau.

Après plusieurs heures, une feuille de l'arbre auquel était attaché Ailelame s'était remplie beaucoup trop d'eau de pluie, comme les cinq autres qui la séparaient du jeune homme nouvellement borgne, et accueillit une nouvelle goutte de pluie. Cela eut pour conséquence de créer une réaction en chaîne avec les feuilles en dessous d'elle, versant un flot plutôt conséquent pour des feuilles sur la tête de l'Ulglimm. Il ouvrit alors les yeux. Tout était resté en état, sauf son adversaire qui s'était fait la belle.

Nouvelle Quête : C'est Ma gemme !
But : Retrouver Kruger et lui reprendre la gemme kuuhuun de la couronne Ulglimm.
Récompense : 150 PX

Ailelame se réveilla en sursaut, il avait du mal a ouvrir les yeux... Il finit par ee rendre compte que son oeil droit était inutilisable... Il se débattait, avec rage, avec ardeur, ficelé sur son tronc. Épuisé, il s'évanoui. Environ un heure plus tard, il entendit un murmure , puis un cri, c'était un enfant qui criait:" un rescapé!" Le père de l'enfant détacha Ailelame puis l'emmena dans son abri de fortune... Car kruger, l'infâme, avait tout détruit, et, les rescapés, s'étaient réfugiés dans les bois... Ailerois longs jours arécupérer de ses blessures. Il remercia ses deux sauveurs, puis alla interroger les réfugiés à propos de kruger...

Les réfugiés n'étaient pas foules. Le village n'ayant pas, à l'origine, une population démentielle, le passage de Kruger avait condamner la communauté. Le petit nombre - une douzaine tout au plus - de survivants seraient condamnés à se disperser dans les villes et villages voisins, car ils n'étaient plus assez pour survivre en cet endroit isolé. La plupart des réfugiés étaient des femmes et des enfants, il n'y avait que deux hommes, dont un à peine assez vieux pour prétendre à se marier. Elles pleuraient pour la plupart, terrorisées ou tétanisées à l'idée de leur triste et difficile avenir de veuves. L'une d'entre elle se mit à hurler : "Assassin ! Dumkar maudit ! Assassin ! Qu'ils meurent ! Assassin ! Assassin !". Les plus fortes des autres survivantes la calmèrent dans une scène plus brutale que tendre, exaspérées par celle qui se laissait aller alors qu'elles toutes se contenaient.

Ailelame traversa l'étendue boueuse parsemée d'objets hétéroclites et des cendres de feux de camps éteints. Le plus vieux des deux hommes, qui tenait par la main un enfant d'environ huit ans, fut le plus apte à lui donner des informations sur le monstre responsable de tant de désolation. Kruger. Son seul nom paraissait empli d'une haine barbare dans la bouche du fermier. Il le décrit longuement comme une grande brute sanguinaire et primitive, à peine capable de parler, excité par la vue du sang, un tueur inhumain. Il n'avait cependant aucune idée de la direction prise par ce mortel ennemi, et il fallut à Ailelame s'en remettre à son instinct.

Ailelame était rongé par deux aspirations contraires. Il avait enormement envie de retrouver kruger, de se venger, de venger ses camarades d'un jour... Mais en même temps, il avait juré d'accomplir sa quête le plus vite possible... Soudain, une douleur vive le prit a l'oeil. Il vacilla, se reprit tant bien que mal à l'arbre qui se trouvait là, et puis il eut la solution. Il ne savait pas ou chercher pour sa quête, donc, vu que kruger lui avait pris sa pierre, il pouvait espérer q'il sache quelque chose. De plus il considéra le fait qu'avec cette douleur vive qui le prenait de temps à autre, il ne pourrait agir convenablement. De plus, il le ressentait au plus profond de lui, lors de son affrontement avec kruger il avait ressenti une puissance, comme il ne l'avait jamais ressentie, l'immerger totalement. Cependant depuis que sa pierre était partie cette puissance avait comme disparue et pourtant il se sentait inexorablement lié a cet éclat d'hématite. Son sentiment lui dicta que le mieux etait de partir a l'est, vers le prochain village...

Ailelame, apres setre a nouveau recouvert d'une couche de charbon, surement par reflexe car il n'y avait plus lieu de le faire hors du village, se mit en route avec quelques provisions qu'on lui avait généreusement offert. Il était un peu triste de quitter ceux qui l'avaient si gentiment accueilli, mais le temps pressait. Par ailleurs il s'inquietait de son propre état physique. En effet son combat lui avait laissé une tache noire sur le pied droit qui ne semblait pouvoir partir. Et ses cheveux était redevenus noirs, mais une mèche grise subsistait et meme le charbon ne parvenait à la colorer. Il ne pouvait s'expliquer ce phénomène. Il était agacé par tout ceci... Toutes les questions survenaient à une vitesse folle dans sa tête et tout lui semblait confus. Il avait du mal à réfléchir posément.... Et plus il s'éloignait du village précédant, plus il sentait qu'il ne pourrait jamais pardonner kruger et qu'il devait à tout pris devenir fort. Fort... Toujours plus fort... Il lui fallait de la puissance et qu'importe soit sa source il pensait etre près à l'accepter. Car il n'avait qu'une seule chose qu'il respectait vraiment; sa fierté. Et alors qu'il voyait le prochain village, il se disait que tuer kruger ne serait pas suffisant, il visait la vengeance...

Alors qu'il parcourait un petit sentier boueux des pluies des jours précédents, sans vraiment prêter attention aux prairies argentées et aux hautes pinèdes qui bordaient son chemin, le jeune homme jusque là perdu dans ses pensées fut ramené à la réalité par une sensation désagréable. Il ne s'en rendit pas compte tout de suite, mais les brûlures internes et sa gorge serrée ne laissaient aucun doute : il avait faim. Il n'avait pas envie de manger, non, il avait faim, physiquement. Ses affaires de voyages avaient été partiellement dispersées et il n'avait sur lui pas de quoi se nourrir.

Alors qu'Ailand se tenait le ventre tiraillé par la fin et que le village suivant lui semblait trop loin a atteindre il aperçut une sorte de petit sanglier sur le bord du sentier. Ils se regardèrent et à ce moment ailelame ne semblait pas moins humain que la bête, il sentait son esprit prit d'hallucinations, il se jeta sur le sanglier qui commenca a prendre la fuite. Ailelame se lança immédiatement a sa poursuite.. Il devait manger à tout prix...

La bête, qui avait commencé par s'éloigner avec anxiété se sentit immédiatement agressée ; et c'était le cas ! Elle poussa un grognement suraiguë et se retourna lourdement. C'avait beau être un petit sanglier de moins d'un mètre de long, il était massif et puissant. Sa charge fut foudroyante, mais, heureusement pour lui, Ailelame ne fut que renversé dans la boue. L'animal s'enfuit alors dans les broussailles, laissant son adversaire seul et indemne.

Ailelame courut vers le village, tiraillé par la faim, la queue entre les jambes, et vociférant des insultes envers le sanglier et son coup de cornes mal placé... Arrivé au village il demanda de l'aide à la taverne... pour seule réponse il eut: Va falloir payer p'tit gars, c'est cela ou tu dégages... Il dépensa alors presque la totalité de ce qui lui restait, mangea, se reposa, et une fois dans son lit de fortune, il repensa à son combat farouche contre le sanglier... Il ne comprenait pas, il avait pourtant utilisé la technique ancestrale, transmise de générations en générations dans sa famille... l'attaque ultime surnommée trempette... Il ne comprenait pas... Cela aurait du marcher.. le sanglier était-il une espèce naturellement immunisée contre trempette, lui avait-on menti? Il n'en savait rien... il préféra se coucher et demain, il chercherait des informations à propos de kruger. Mais il commençait à peine à comprendre pourquoi trempette était une technique interdite...

Technique débloquée :


Trempette
Coût : 20 MNA
Effet : Déchaîne la puissance du Leviator en augmentant tous les dégâts du lanceur de 50%! ... sur un jet inférieur ou égal à 5.

Dans son malheur, le jeune aventurier avait trouvé le village de façon rapide. Ses prochains vagabondages ne seraient pas forcément aussi chanceux, mais il avait le temps d'y repenser et de s'organiser. Alors qu'il mangeait mornement son écuelle de potage au lard, un homme vint s'asseoir à sa table. Malgré sa cape de voyage et ses cheveux sales, il ne pouvait cacher le tatouage qui parcourait son avant bras gauche depuis ses phalanges jusqu'à son coude. L'encre rouge de Senpra, une plante poussant exclusivement dans les hauteurs des montagnes, n'était utilisée que par la guilde du Welial, la guilde des apothicaires. "Vous vous êtes pris une belle déconvenue à ce que je vois."