(Quête) Un os dans le potage, Chapitre I-1

Les en cuir s'ouvrir sur un sachet en toile de lin qui semblait rempli de plantes séchées, ainsi que sur un étrange objet ressemblant plus ou moins à une pipe. La présence un petit heurtoir ainsi que de quelques morceaux d'amadou confirmèrent la nature de l'objet. Bien qu'il ne fut pas orfèvre, Alrun pu aisément reconnaître le métal dans lequel était ciselé l'objet : de l'argent. Si les septans n'étaient pas avares, ils raffolaient des beaux objets, et l'argent était particulièrement indiqué pour la confection de toutes sortes de beaux objets... mais si le foyer était métallique, le corps - bien plus large, d'ailleurs, que pour les pipes normales - et l'embout étaient dans une matière blanche, lisse, laiteuse, proche de l'os, mais bien plus noble. Sur presque toute sa longueur, la pipe était cerclée - de façon purement décorative - d'une sorte de tube d'argent percé de losanges réguliers d'un peu moins de deux millimètres de larges, à même l'étrange substance dont elle était faite, qui formait ainsi une sorte de grillage miniature. Quoi qu'il en soit, cet objet était une réalisation fine et luxueuse.

Le village semblait paisible, comme à son habitude. Les poules caquetaient, le vent agitait doucement les jeunes feuilles des hauts peupliers au port fastigié. Chacun allait et venait, même si, puisqu'il en était l'heure, la plupart devaient se diriger vers leurs gamelles.

Après avoir rangé la belle pipe Alrun décida de prévenir sa famille en priorité, de la, lui et ses frère et soeur pourrait faire passer le message à tout le village, il arriva devant chez lui et entra.
"- Alrun ! Te voilà enfin ! on s'est fait du souci tu sais ?" Son père était rentré, parfait.
"- Père ! J'ai quelque chose de grave à annoncer." A ces mots, toute activité dans la maison cessa, les frères et soeur se rassemblèrent dans la pièce, et la mère d'Alrun vint de la cuisine, accompagnée par de délicieuses odeurs.
Alrun raconta alors en détail tout ce qui lui était arrivé, le cadavre, les hommes mystérieux, le combat, même la pipe, qu'il sortit de sa poche, il n'omit aucun détail.
"- Mmmmh... Il faut prévenir le reste du village ! Baeleg, préviens Kadan ! Mikaela, occupe toi de Tebi ! Toi alrun, va prévenir Arzian, passe aussi voir Gwereg, dites leur de venir ici même, la maison est assez grande pour tenir conseil ici !"
Chacun alla mener son rôle à bien, et Alrun entendit son père donner des ordres au reste de sa fratrie.
Une heure plus tard, tous les personnages importants du villages furent présents.

Le vieil Azrian adressa un regard compatissant et interrogateur à son apprenti, lorsqu'il entra dans la maison. Il fut bref, mais traversa le jeune forgeron avec intensité.

Une heure plus tôt, Alrun était allé prévenir Azrian. Ce dernier semblait l'attendre, assis sur l'enclume, ses pieds ballants dans le vide, comme à son habitude lorsque quelque chose le taraudait. Ses yeux fixait l'âtre éteint où tant de métal avait connu une nouvelle vie. Lorsque le jeune arriva, l'ancien reconnut à l'oreille qu'il s'agissait de lui, aux imperceptibles variations de rythme, de longueur, de poids, de sa démarche, que les graviers de la cour traduisaient en crissements secs. Il releva son visage sec, couvert de petites rides discrètes ; sauf les trois grandes qui barraient son front ; et arborant une barbiche blanche et aérée, au port décoiffé. Son air soucieux frappa Alrun, qui le connaissait bien, depuis le temps. Il n'eut pas le temps de parler, de poser une question ou même d'ouvrir la bouche qu'Azrian entama sa proposition, penchant la tête sur le côté :

"Cela fait trois mois que je n'ai pas levé un marteau." Cela tombait comme une sentence. "Et contrairement à mes autres pauses, ce n'est pas temporaire. J'ai voulu m'en convaincre... mais je ne peux plus." Les yeux du vieil homme étaient humide d'émotion. Il se condamnait lui-même à l'inutilité, et même dans un village prospère et généreux, cela n'allait pas de soi. Il soupira. "Je t'ai élevé comme mon propre fils, dans la forge. Je sais que tu as un père, mais il sait très bien qu'il te partage avec moi, depuis tout ce temps. Je t'ai enseigné ce que je savais, et tu as tout très bien compris. En fait, tu as même tout compris depuis bien longtemps. Je sais que tu n'es pas arrogant, mais il faut que tu te rende compte que tu as un don inexploité pour façonner l'acier. Peut être qu'avec ce don, tu pourrais faire autre chose, comme de l'ébénisterie, ou je ne sais quoi, mais tu as choisi la forge... Personne n'envisage d'acheter une arme de guerre, mais si tu apprenait à faire des épées... rien n'est plus passionnant que d'en façonner une. Tu pourrais partir au Sud, tu pourrais devenir un forgeron de renom..."

Il y avait un mais qui n'arrivait pas à sortir... Le regard du forgeron quitta celui de son apprenti, et scruta le sol avec méthode, comme pour y trouver la force de finir.

"Je... je sais que je te demande de renoncer au rêve que je t'apporte maintenant, mais pourrais tu y renoncer, et devenir le nouveau forgeron d'Helouri ?"

Maintenant, le conseille commençait, et les hommes s'assirent autour de la table à manger. Il y en avait une quinzaine, ceux qui avaient les métiers importants : le meunier, le forgeron, le garde-chasse, l'aubergiste... Leurs femmes s'affairaient avec la mère d'Alrun pour préparer un repas : le débat sur ce qu'il fallait faire promettait d'être long. Au rythme de la rumeur - rapide dans ces villages - les autres villageois s'agglutinaient devant les fenêtres et portes, se relayant le moindre mot prononcé. Les femmes, exaspérées par cet attroupement, jouaient des coudes quant elles passaient chercher de l'eau ou des provisions dans le grenier ou leurs propres demeures.

Le père d'Alrun prit la parole le premier.
"-Bien ! Vous êtes tous là ! Tout d'abord, Alrun, j'aimerai que tu raconte à nouveau ton histoire, que tous puisse l'entendre."
Dès les premiers mots du meunier, le brouhaha ambiant s'était éteint et quand il eut fini, tous se tournèrent vers Alrun. Il se plaça au centre de la pièce, et raconta une nouvelle fois son histoire, cette fois cependant, il fut interrompu de nombreuses fois, par des questions et des demandes de précisions du conseil, quand il eut fini, le silence s'installa.
Et tout d'un coup, le brouhaha repris, tout le monde y allait de son petit commentaire, il y avait ceux qui désiraient aller voir tout de suite ce qui ce passait, et examiner le cadavre, d'autres estimaient que c'était trop dangereux, et enfin, il y avait ceux qui ne croyaient pas un traître mot de ce que disait Alrun, le scepticisme avait valeur de religion pour certains.
L'aubergiste, un homme grand et bedonnant à la voix forte et au crane chauve et luisant haussa la voix : "Silence !"
A nouveau, tous se turent.
"- Nous allons parler chacun à notre tour, Gwereg, tu es le plus vieux et le plus sage d'entre nous, qu'en penses-tu ?
-Je pense... Tout d'abord je pense qu'Alrun dit vrai, et j'aimerai que ce ne soit plus remit en cause, si nous partons du principe que nous nous mentons entre nous, nous n'éluciderons jamais cette affaire, de plus, un mensonge ne lui servirait de rien." Tous acquiescèrent, puis, un à un, les hommes prirent la parole, chacun donnant son avis, et disant ce qu'il pensait être le mieux à faire. Alrun n'écoutait que d'une oreille distraite, il se demandait qui étaient ces hommes, qu'est-ce qu'il faisait, d'ou ils venaient, et surtout, combien ils étaient et quand partiraient-ils, jusqu'à ou étaient-ils prêts pour mener à bien leurs obscurs dessins. Le conseil avait longuement discuté quand il décida d'agir tout de suite pour se prémunir, ils décidèrent d'établir un tour de garde et des sentinelles autour du village, et il fut décidé d'aller voir au petit matin la scène, un groupe comprenant Alrun, son père, le garde-chasse et quelques hommes forts.
"-C'est tout pour ce soir ! annonça l'aubergiste, nous nous reverrons demain pour entendre ce que l'expédition de demain aura à nous dire !"
Tous se redirgièrent chez eux, sauf les sentinelles désignées, et Alrun alla directement se coucher, il s'endormit en quelques minutes, exténué par les évènements de la journée, il s'endormit en réfléchissant à ce que lui avait dit Arzian.

Alrun fut réveillé par le chant du coq, il se leva, mangea rapidement un peu de pain et de fromage, emmena une pomme pour grignoter, et sortit de la maison. Le garde-chasse, il s'appelait Tadhg, mais tout le monde l'appelai Tad, par souci de pratique, l'attendait déjà devant la maison. C'était un homme de taille moyenne, assez maigre, le teint sombre, le regard observant et analysant tout, ses yeux bougeaient avec les vivacité d'un oiseau et son regard scrutateur semblait transpercer tout ce sur quoi il se posait, homme, animal, objet, rien ne semblait pouvoir éviter d'être passé au crible parla noirceur de sa pupille.
Il leva ses yeux sombres sur Alrun et dit : "Les autres arrivent"
En effet, le père d'Al sortit de la maison derrière lui, et quelques hommes d'âges divers, bien entendu, Alrun les connaissait tous par leur nom, il les salua de la tête, et ils se mirent en route. Deux des homme, d'une trentaine d'années, commencèrent à discuter, mais Alrun n'y prêta pas attention, pendent qu'il guidait le groupe jusqu'au lieu du meurtre, son esprit était occupé par la déclaration d'Arzian, il ne s'était jamais préoccupé de son avenir étant jeune, ilne pensais pas qu'il y ai la moindre chance qu'il quitte le village, mais depuis quelques mois, il se rendait compte que sa capacité à forger dépassait l'ordinaire, il avait conscience de son talent, et il s'était déjà imaginé voyager, cependant, il si il partait, il aurait le sentiment de trahir Arzian...
Lorsqu'il sortit de ses pensées, Alrun se rendit compte qu'ils étaient presque arrivés.
"C'est par là"
Ils arrivèrent au niveau du cadavre... Qui n'était plus là ! Alrun était étonné, il était sur de ne pas avoir rêvé, la pipe en témoignait, il pensa que les hommes avaient du caché le cadavre, maintenant qu'il était devant les faits, cela lui semblait prévisible...
"Là."
Tadhg montrait un buisson du doigt, en approchant, Alrun remarque que les branches étaient abîmées et en les écartant, il découvrit le cadavre, caché sommairement.
Il fut impressionné par le sens de l'observation de Tad, et aussi par son manque de réaction apparente à la vue du cadavre, à part lui, tous eurent une mimique de dégoût et les deux trentenaires se détournèrent.
Un des hommes, d'âge mûr reconnu la jeune fille, c'était la fille d'un paysan du village voisin, il le connaissait, et décida d'aller le prévenir dès qu'ils seraient rentrés à Helouri, avec un groupe de proches.
Alrun mena l'expédition au lieu du combat, là, le cadavre n'était pas caché... mais entouré d'hommes habillés comme le défunt, ils semblaient attendre le groupe, ils étaient cinq, les septans sept, la bataille semblait inévitable.
A l'étonnement d'Alrun, ils n'attaquèrent pas immédiatement, ils n'étaient certainment pas impressionnés par l'armement rudimentaire des paysans, cependant, l'un d'eux s'avança, pointa un doigt sur Alrun, et commença à parler.

Il prononça des mots. Tous l'écoutaient avec gravité, sur le qui-vive. Mais quelque chose ne fonctionnait pas... et tous se rendirent compte - tous les habitants d'Helouri - qu'il parlait une langue tout à fait inconnue. Les hommes n'étaient même pas capables de saisir la prononciation, de séparer les différents mots des phrases. L'homme masqué se tu. Les autres dégainèrent des sabres assez fins qui semblaient d'excellente facture, et s'approchèrent sans hâte ni zèle jusqu'à arriver à la hauteur de celui qui semblait être leur chef.

Les paysans se raidirent, s'agripant aux faux, fléaux et pieux qu'ils avaient emmenés plus par acquis de conscience qu'en s'attendant réellement à un combat. Un silence lourd et pesant aurait pu s'installer, mais les hommes aux capes noires et aux masques métalliques ne semblaient pas particulièrement angoissés, et dans cette optique, ils n'attendirent ni ne jaugèrent leurs adversaires. Ils avancèrent de front, lame au clair, retournant le tapis de feuille morte à leur avancée.

Alrun sentit une nouvelle fois l'adrénaline le posséder, il affermit sa prise sur l'énorme maillet en fer qu'il avait pris pour se défendre, fléchit un peu les genoux. A côté de lui, il vit son père faire de même avec la hache à couper le bois qu'il avait emmené et tous les autres faire de même avec leurs armes de fortune, haches, faux, hachoir à viande, tous sauf un, Tadhg avait disparu, il se retourna sur ses adversaires en se demandant où il était passé, et ce qu'il fabriquait, les ennemis approchaient, la tension était palpable.
Au moment même où le chef avançait vers lui, il vit un mouvement sur le côté de son champ de vision, et réalisa que c'était Tadhg, sortant le buste d'un buisson pour décocher une flèche, il banda son arc, Alrun banda ses muscles et frappa son premier adversaire à la tête, ne pensant plus à rien d'autre qu'à écraser son adversaire, il se surprit à hurler comme un cri de guerre : "Pour Helouri ! Pour nos familles !"
Ce cri sembla chasser la peur du coeur de ses compagnons, et tous se lancèrent dans le combat.
[Attaque physique avec une arme contondante : Jet de dextérité, jet de force]

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#1 'Osselet' : 1, 2, 1, 2, 1, 2, 2, 2, 2

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#2 'Osselet' : 2, 1, 1, 1, 1, 1, 1, 1

Voyant un homme de bonne stature tenter de lui enfoncer la tête entre les épaules, l'homme masqué tenta de frapper le premier, ayant conscience que toute tentative de parer un coup d'une telle puissance et avec une telle arme serait vaine.
Il lança son bras armé de son sabre sur son adversaire.
[Jets de dextérité et de force]

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#1 'Osselet' : 2, 1, 2, 2, 1, 1

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#2 'Osselet' : 2, 1, 1, 1, 1, 2, 1

Encore maladroit dans le combat armé, le coup d'Alrun, bien que puissant, fut lent. Le bretteur qu'il avait en face de lui frappa plus vite, armé d'une arme plus légère, Alors qu'il s’apprêtait a abattre son maillet en une attaque destructrice, le sabre affûté mordit sa chair.
[Jet de constitution (9)]

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'Osselet' : 2, 2, 2, 1, 1, 1, 2, 2, 2

Chef masqué (C. mas.) [25+5(arme) = 30]
For. P : 7 *
For. M : 9
Con. : 6 *
Agi. : 5 *
Dex. : 7 *
Per. : 6
Ins. : 4
Emp. : 6
Log. : 8
Fen. : ?
Perks : ?

Homme masqué (H. mas.) [25+5 (arme) = 30]
For. P : 7 *
For. M : 7
Con. : 7 *
Agi. : 5 *
Dex. : 6 *
Per. : 6
Ins. : 5
Emp. : 5
Log. : 7
Fen. : ?
Perks : ?

Paysan (pay.) [25]
For. P : 8 *
For. M : 6
Con. : 7 *
Agi. : 5 *
Dex. : 5 *
Per. : 6
Ins. : 6
Emp. : 6
Log. : 5
Fen. : ?
Perks : ?

Pay. (11) // H. mas. (9)
C. mas. (for=7)

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#1 'Osselet' : 1, 1, 2, 2, 1, 1, 2, 2, 2, 1, 1

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#2 'Osselet' : 1, 2, 1, 1, 2, 1, 2, 1, 1

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#3 'Osselet' : 2, 1, 2, 1, 1, 1, 2

Les premiers coups furent échangés entre le chef des hommes aux masques de fer et le jeune forgeron. Sa masse brassa l'air tandis qu'une vive douleur lui saisit le bras qui portait le marteau. Il jeta un coup d'oeil anxieux, pour ne constater qu'une estafilade brûlante. Premier sang. Les hommes qui se tenaient derrière chacun des deux meneurs se ruèrent vers leurs adversaires en deux lignes de front brutales.

Alors quel es premiers fracas d'armes résonnaient, l'adversaire d'Alrun fit un moulinet avec son épée longue et fine pour mieux l'abattre sur le flanc gauche de sa cible. Cette dernière ne pouvait parer le coup, et son réflexe premier fut d'essayer de se décaler pour ne pas prendre le coup.

Autour d'eux, les malgré la violence, personnes n'avait encore reçu de blessure mortelle, ou même handicapante. Le manque d'équipement des habitants d'Helouri était largement compensé par leur nombre.

H. mas. attaque Alrun : Dex(7)//Agi(7)
Si touché : For(7)//Con(9)

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#1 'Osselet' : 2, 2, 1, 1, 1, 2, 2

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#2 'Osselet' : 2, 2, 2, 1, 2, 2, 1

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#3 'Osselet' : 1, 1, 2, 1, 1, 2, 2

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#4 'Osselet' : 2, 1, 1, 2, 1, 1, 2, 2, 2

Alrun sentit une nouvelle ligne brûlante au niveau de sa hanche gauche. Son adversaire était plus habile que lui au combat, tenter de reprendre le dessus avec son arme lourde et impropre au combat contre un sabre de ce type semblait vain, Alrun décida de surprendre son adversaire, le meilleur moyen de gagner dans ce genre de situation. Son adversaire s'était avancé pour porter son coup, c'était le moment ou jamais. Alrun se jeta sur son adversaire pour le plaquer, il était plus grand et plus lourd que lui, en cas de lutte, il n'avait aucune chance.
[Jet d'agilité d'Alrun pour plaquer, Jet d'agilité de l'homme masqué pour esquiver, Si plaquage réussi, Jet de force Alrun, Jet de force Homme masqué]

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#1 'Osselet' : 2, 2, 1, 2, 1, 1, 2

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#2 'Osselet' : 1, 1, 2, 1, 2

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#3 'Osselet' : 2, 1, 1, 2, 1, 2, 2, 1

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#4 'Osselet' : 1, 2, 2, 2, 2, 1, 1

Alrun lança tout le poids de son corps sur son opposant, qui esquiva... peu habilement, tandis qu'Alrun s'écrasait avec violence dans les feuilles mortes, désarmé, son adversaire trébucha en se reculant, tombant à la renverse et s'écrasant en arrière de manière magistrale et lâchant son sabre qui alla se perdre un peu plus loin. Tous deux se relevèrent avec difficulté mais détermination. Dans la bataille, le statut quo régnait toujours entre les paysans et les étrangers masqués.
S'étant relevé et regardant son adversaire, l'inconnu se rendit vite compte que dans un combat à mains nues, il n'avait pas l'avantage, il chercha donc son sabre des yeux... qu'il ne trouva pas. Il se résolu donc à lutter contre le grand et imposant jeune homme, espérant qu'il tiendrait le temps que la bataille tourne à l'avantage de ses hommes, si elle tournait à leur avantage...
Alrun s'approchait de son adversaire avec prudence mais avec la résolution de lui faire manger l'humus du petit bois au meurtrier qu'il avait en face de lui, il engagea son adversaire au corps à corps et lança son poing dans son estomac.
[jet dex Alrun, Jet agi homme masqué. Si jet dex réussi, Jet force Alrun, Jet constitution homme masqué]

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#1 'Osselet' : 2, 1, 2, 1, 1, 1, 2, 1, 1

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#2 'Osselet' : 1, 1, 1, 2, 1

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#3 'Osselet' : 2, 1, 2, 1, 2, 1, 2, 1

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#4 'Osselet' : 2, 2, 2, 2, 1, 1

Bien que le coup ne lui fit pas grand mal, l'inconnu sentit la force de son adversaire et sut qu'un combat de ce genre signerait son arrêt de mort. Il chercha donc à récupérer son épée, dernier espoir de trucider ce pauvre péquenot comme il l'avait prévu
[Jet de perception difficulté 2, si réussi Jet d'agilité difficulté 3]

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#1 'Osselet' : 2, 2, 1, 2, 1, 1

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#2 'Osselet' : 1, 1, 2, 2, 2